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| Richie |
Le samedi 22 février dernier, le groupe Klass de Richie honorait un
contrat à Orlando quand des voyous de grand chemin et membres de gangs
ont décidé de troubler la paix et l’harmonie qui régnaient dans
l’enceinte. Ils ont déclenché une bagarre forçant les fêtards à se
mettre à couvert ou à prendre leurs jambes à leurs
cous pour éviter
d’être victimes, sous une forme ou une autre. On lançait des bouteilles
et des tessons de bouteilles dans toutes les directions. Il faut
signaler qu’on a enregistré des blessés au cours des échauffourées. Ce
type de comportement des chenapans peut non seulement affecter le groupe
Klass mais aussi l’avancement de l’industrie musicale haïtienne (la
HMI) qui a déjà tant de problèmes qui attendent d’être solutionnés.
Selon toute vraisemblance, le groupe Klass n’est pas responsable de cet
incident.
D’aucuns soutiennent que le succès de Klass trouble beaucoup d’esprits. Il semblerait que cela dérange beaucoup de gens, incluant même des musiciens de cette génération. Ils font semblant d’ignorer que, dans un premier temps, Klass rampait comme un bébé sans direction qui se cognait la tête à toutes les tables. Si aujourd’hui les conditions changent pour lui, il faut l’admettre et l’applaudir. Les bonnes choses n’arrivent qu’à ceux qui savent attendre et utiliser les meilleures stratégies pour réussir dans la vie.
Les responsabilités des promoteurs envers le public et les artistes
Une fois n’est pas coutume, dit le proverbe. De pareils incidents ont été déjà enregistrés dans le passé à Orlando, où réside un nombre important d’Haïtiens. Il faut que des mesures soient prises pour mettre ces vagabonds hors d’état de nuire. Les promoteurs et propriétaires de boîtes de nuit / de clubs doivent informer la Police des événements qui doivent avoir lieu dans le club désigné, deux semaines avant la date prévue. Il faut bien qu’ils comprennent que la Police, en aucun cas, ne peut assurer la sécurité des gens et des artistes à l’intérieur d’un club où se déroule une soirée dansante. Les policiers ne peuvent pas investir l’enceinte à moins qu’il y ait un problème nécessitant leur présence immédiate.
Le commissariat de police le plus proche du lieu peut intensifier la patrouille dans la zone à une fréquence plus régulière en assignant des policiers à pied et en voitures si l’effectif le leur permet, le soir du spectacle ou du bal. Les commissariats de Police fonctionnent 24 / 7 quotidiennement. Le samedi soir semble être le moment le plus mouvementé pour les commissariats de police, cela à cause des activités nocturnes qui se déroulent surtout dans les zones métropolitaines déclarées chaudes ou rouges.
Les promoteurs doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour garantir la sécurité des invités et des musiciens. Ils sont obligés de se munir d’une assurance tous risques pour la protection des musiciens et de leurs instruments pendant la période que dure l’animation. Si de telles dispositions avaient été prises, Roberto Martino de T-Vice aurait bénéficié des avantages que confère cette police d’assurance, quand, sur le podium, il a été atteint d’un projectile lancé par un individu qui se trouvait dans la foule. Il a été blessé à la tête. D’après la loi, un club doit aussi avoir une assurance tous risques couvrant les invités.
Malheur à l’homme qui se confie toujours à l’homme
Il y a une image qu’on ne voit seulement que dans les milieux haïtiens : la présence des gens rodant sur scène au moment où les groupes musicaux sont en pleine prestation. Il faut que les promoteurs mettent fin à cette pratique qui ne parait pas trop plaisante à la vue. Auteur de l’article Robert Noel. Ces colis encombrants envahissent le podium pour se faire remarquer par leurs amis ou pour laisser l’impression de leur popularité. L’éducation coûte chère mais l’ignorance coûte encore beaucoup plus chère. Et l'ignorance n'est pas un moyen de défense au tribunal.
L’interdiction des « gratteurs » sur le podium se révèle une mesure sécuritaire pour les musiciens, et elle doit être partie intégrante des contrats signés entre les clients et les formations musicales. Si les musiciens sont fiers de la présence de ces emmerdeurs sur le podium, ils ne comprennent rien de rien (yo pa konpran n anyen nan anyen). S’ils tolèrent ces membres inutiles qui encombrent leur espace, ils ne tiennent pas à leur sécurité personnelle. Il semble que les musiciens se réjouissent plutôt de la présence de ces gens sur scène, qui, d’après eux, confirme leur vedettariat. Erreur phénoménale! Une telle image reflète plutôt le manque de professionnalisme de nos promoteurs et musiciens qui les tolèrent parce qu’ils se disent fans du groupe musical.
En autant que je sache, les « superstars » haïtiens / super étoiles haïtiennes sont les seuls à ne pas avoir des gardes du corps en tout temps et en tout lieu. Certainement cela coûte cher, n’est-ce pas, messieurs les Superstars! Mais une autre mesure de sécurité serait la présence permanente de caméras de surveillance sur scène pendant tout le déroulement du spectacle ou toute la soirée dansante. L’espace qu’occupent les gratteurs sur scène servirait plutôt aux caméras de surveillance.
Il serait bon de conseiller aux promoteurs de fournir au moins deux de ces caméras de surveillance. Si de telles mesures avaient été prises, le claviériste / keyboardiste du groupe Klass n’aurait pas perdu son ordinateur laptop au cours de cette soirée très agitée à Orlando. Ce vol perpétré se révèle un élément important d’investigation qui peut aider la Police à récupérer l’objet volé et trouver les brigands. Un tel acte prouve qu’il s’agit bien d’un sabotage prémédité et bien planifié pour voler l'équipement et endommager le keyboard du claviériste.
Les musiciens ont été escortés par la police pour sortir du club. Il semblerait que les responsables de Klass n’ont pas eu l’esprit présent pour faire une déposition en bonne et due forme au commissariat de police le plus proche du club. Ils auraient reçu un numéro de dossier lié à cette perte. Ils pourraient s’en servir et déclarer perte dans leurs déclarations d’impôt au Service d’Impôt sur le Revenu (IRS) à la fin de l’année fiscale, si le business est légalement enregistré dans l’État de la Floride. Il y a de fortes chances que le groupe Klass le soit, puisque Pipo est sous contrat légal avec l’orchestre, d’après l’information que m’avait donnée un membre de cette formation musicale au moment de l’intégration du chanteur au sein de l’orchestre
La présence d’agents professionnels de sécurité aux clubs
Les promoteurs haïtiens ont toujours tendance à embaucher des agents de sécurité inexpérimentés qui ne savent même pas comment contrôler un petit groupe, voire une foule immense. Ils n’ont subi aucun entrainement en sécurité publique. Souvent, ils recrutent des amis ayant un physique imposant sans être pour autant en pleine forme physique. Des fois, on voit même des ventrus marchant à pas de tortue assurant la sécurité à l’entrée des clubs. Dans bien des cas, ils choisissent des policiers hors service en weekend (off duty police) pour assurer la tache, ce qui est une violation flagrante des lois des départements de police dans certains états des États-Unis, s’ils ne notifient pas le département de leur boulot supplémentaire bien avant .
Ces policiers devenus agents de sécurité en weekend, dans des conditions irrégulières, n’interviennent pas vraiment quand un incident arrive au club. J’ai vécu un fait convaincant dans un club de New York. Quand un incident arrive, ils se volatilisent, disparaissent - yo fon n kon bè nan chalè. Ils courent aussi le risque d’être l’objet de graves mesures disciplinaires, incluant mais pas limitées à une possibilité de longue suspension sans solde, si on rapporte les faits à l’officier de contrôle d’intégrité (ICO-Integrity Control Officer) du département de la Police.
Les promoteurs doivent contacter des compagnies de sécurité où les agents ont reçu un entrainement adéquat leur permettant de travailler comme tels. J’ai vu des individus ayant un lourd dossier criminel travailler comme agents de sécurité dans les clubs, alors qu’ils sont en probation. Ils ont toujours l’air suspect et se retirent de la vue pour se cacher derrière une porte à chaque fois que quelqu’un bien vêtu les regarde dans les yeux.
Orlando est-elle vraiment une zone chaude de la HMI ?
La ville d’Orlando, au niveau de la HMI, est devenue une zone de non-droit pour les groupes musicaux haïtiens. Cela va changer dans le plus bref délai. C’est vraiment regrettable que les choses se soient passées ainsi pour le groupe Klass et ceux qui ont participé à cette soirée dansante. Je conseille aux membres des gangs d’Orlando qui empêchent aux paisibles citoyens de la communauté haïtienne de cette ville de se divertir, de diluer leur vin (mete dlo nan divin yo). Car la police se lance à leur trousse.
Le service de police communautaire sera renforcé tant à Orlando, New York, Boston, que dans d’autres villes. Des mesures légales seront prises pour empêcher que de telles échauffourées ne se reproduisent dans la communauté haïtienne d’ici et d’ailleurs. Souvent, les membres de gangs haïtiens portent toujours un signe permettant de les identifier facilement. Ils utilisent les couleurs bleu, rouge ou noir avec insignes (casquettes, maillots, pantalons, manteaux, mouchoirs, bandeaux, etc.) pour indiquer leur appartenance. Ils utilisent des signes et attouchements pour se faire reconnaitre les uns les autres. Je remarque que les musiciens, quand ils se font photographier, utilisent des gestes et des signes de doigts de certains gangs, sans le savoir
Si les promoteurs qui avaient organisé la soirée avec Klass connaissent au moins celui qui a commencé la bagarre, ils doivent le signaler à la Police, sous le couvert de l’anonymat. Et les vidéographes qui étaient présents et qui ont enregistré ce spectacle affreux sont obligés d’assister la Police dans ses enquêtes visant à la capture de ces malfrats. Je déplore cet incident malheureux. Je profite de l’occasion pour demander à celui qui, par mégarde (erreur d’inattention), a déplacé le laptop du groupe Klass de le retourner aux promoteurs de la soirée du samedi ou bien au club où a eu lieu le bal. Il peut aussi contacter le groupe Klass. Le geste serait grandement apprécié de tous. L’important ce n’est pas vraiment le laptop mais les programmes de logiciels et les documents qui y sont installés.
À bon entendeur salut!
robertnoel22@yahoo.com
D’aucuns soutiennent que le succès de Klass trouble beaucoup d’esprits. Il semblerait que cela dérange beaucoup de gens, incluant même des musiciens de cette génération. Ils font semblant d’ignorer que, dans un premier temps, Klass rampait comme un bébé sans direction qui se cognait la tête à toutes les tables. Si aujourd’hui les conditions changent pour lui, il faut l’admettre et l’applaudir. Les bonnes choses n’arrivent qu’à ceux qui savent attendre et utiliser les meilleures stratégies pour réussir dans la vie.
Les responsabilités des promoteurs envers le public et les artistes
Une fois n’est pas coutume, dit le proverbe. De pareils incidents ont été déjà enregistrés dans le passé à Orlando, où réside un nombre important d’Haïtiens. Il faut que des mesures soient prises pour mettre ces vagabonds hors d’état de nuire. Les promoteurs et propriétaires de boîtes de nuit / de clubs doivent informer la Police des événements qui doivent avoir lieu dans le club désigné, deux semaines avant la date prévue. Il faut bien qu’ils comprennent que la Police, en aucun cas, ne peut assurer la sécurité des gens et des artistes à l’intérieur d’un club où se déroule une soirée dansante. Les policiers ne peuvent pas investir l’enceinte à moins qu’il y ait un problème nécessitant leur présence immédiate.
Le commissariat de police le plus proche du lieu peut intensifier la patrouille dans la zone à une fréquence plus régulière en assignant des policiers à pied et en voitures si l’effectif le leur permet, le soir du spectacle ou du bal. Les commissariats de Police fonctionnent 24 / 7 quotidiennement. Le samedi soir semble être le moment le plus mouvementé pour les commissariats de police, cela à cause des activités nocturnes qui se déroulent surtout dans les zones métropolitaines déclarées chaudes ou rouges.
Les promoteurs doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour garantir la sécurité des invités et des musiciens. Ils sont obligés de se munir d’une assurance tous risques pour la protection des musiciens et de leurs instruments pendant la période que dure l’animation. Si de telles dispositions avaient été prises, Roberto Martino de T-Vice aurait bénéficié des avantages que confère cette police d’assurance, quand, sur le podium, il a été atteint d’un projectile lancé par un individu qui se trouvait dans la foule. Il a été blessé à la tête. D’après la loi, un club doit aussi avoir une assurance tous risques couvrant les invités.
Malheur à l’homme qui se confie toujours à l’homme
Il y a une image qu’on ne voit seulement que dans les milieux haïtiens : la présence des gens rodant sur scène au moment où les groupes musicaux sont en pleine prestation. Il faut que les promoteurs mettent fin à cette pratique qui ne parait pas trop plaisante à la vue. Auteur de l’article Robert Noel. Ces colis encombrants envahissent le podium pour se faire remarquer par leurs amis ou pour laisser l’impression de leur popularité. L’éducation coûte chère mais l’ignorance coûte encore beaucoup plus chère. Et l'ignorance n'est pas un moyen de défense au tribunal.
L’interdiction des « gratteurs » sur le podium se révèle une mesure sécuritaire pour les musiciens, et elle doit être partie intégrante des contrats signés entre les clients et les formations musicales. Si les musiciens sont fiers de la présence de ces emmerdeurs sur le podium, ils ne comprennent rien de rien (yo pa konpran n anyen nan anyen). S’ils tolèrent ces membres inutiles qui encombrent leur espace, ils ne tiennent pas à leur sécurité personnelle. Il semble que les musiciens se réjouissent plutôt de la présence de ces gens sur scène, qui, d’après eux, confirme leur vedettariat. Erreur phénoménale! Une telle image reflète plutôt le manque de professionnalisme de nos promoteurs et musiciens qui les tolèrent parce qu’ils se disent fans du groupe musical.
En autant que je sache, les « superstars » haïtiens / super étoiles haïtiennes sont les seuls à ne pas avoir des gardes du corps en tout temps et en tout lieu. Certainement cela coûte cher, n’est-ce pas, messieurs les Superstars! Mais une autre mesure de sécurité serait la présence permanente de caméras de surveillance sur scène pendant tout le déroulement du spectacle ou toute la soirée dansante. L’espace qu’occupent les gratteurs sur scène servirait plutôt aux caméras de surveillance.
Il serait bon de conseiller aux promoteurs de fournir au moins deux de ces caméras de surveillance. Si de telles mesures avaient été prises, le claviériste / keyboardiste du groupe Klass n’aurait pas perdu son ordinateur laptop au cours de cette soirée très agitée à Orlando. Ce vol perpétré se révèle un élément important d’investigation qui peut aider la Police à récupérer l’objet volé et trouver les brigands. Un tel acte prouve qu’il s’agit bien d’un sabotage prémédité et bien planifié pour voler l'équipement et endommager le keyboard du claviériste.
Les musiciens ont été escortés par la police pour sortir du club. Il semblerait que les responsables de Klass n’ont pas eu l’esprit présent pour faire une déposition en bonne et due forme au commissariat de police le plus proche du club. Ils auraient reçu un numéro de dossier lié à cette perte. Ils pourraient s’en servir et déclarer perte dans leurs déclarations d’impôt au Service d’Impôt sur le Revenu (IRS) à la fin de l’année fiscale, si le business est légalement enregistré dans l’État de la Floride. Il y a de fortes chances que le groupe Klass le soit, puisque Pipo est sous contrat légal avec l’orchestre, d’après l’information que m’avait donnée un membre de cette formation musicale au moment de l’intégration du chanteur au sein de l’orchestre
La présence d’agents professionnels de sécurité aux clubs
Les promoteurs haïtiens ont toujours tendance à embaucher des agents de sécurité inexpérimentés qui ne savent même pas comment contrôler un petit groupe, voire une foule immense. Ils n’ont subi aucun entrainement en sécurité publique. Souvent, ils recrutent des amis ayant un physique imposant sans être pour autant en pleine forme physique. Des fois, on voit même des ventrus marchant à pas de tortue assurant la sécurité à l’entrée des clubs. Dans bien des cas, ils choisissent des policiers hors service en weekend (off duty police) pour assurer la tache, ce qui est une violation flagrante des lois des départements de police dans certains états des États-Unis, s’ils ne notifient pas le département de leur boulot supplémentaire bien avant .
Ces policiers devenus agents de sécurité en weekend, dans des conditions irrégulières, n’interviennent pas vraiment quand un incident arrive au club. J’ai vécu un fait convaincant dans un club de New York. Quand un incident arrive, ils se volatilisent, disparaissent - yo fon n kon bè nan chalè. Ils courent aussi le risque d’être l’objet de graves mesures disciplinaires, incluant mais pas limitées à une possibilité de longue suspension sans solde, si on rapporte les faits à l’officier de contrôle d’intégrité (ICO-Integrity Control Officer) du département de la Police.
Les promoteurs doivent contacter des compagnies de sécurité où les agents ont reçu un entrainement adéquat leur permettant de travailler comme tels. J’ai vu des individus ayant un lourd dossier criminel travailler comme agents de sécurité dans les clubs, alors qu’ils sont en probation. Ils ont toujours l’air suspect et se retirent de la vue pour se cacher derrière une porte à chaque fois que quelqu’un bien vêtu les regarde dans les yeux.
Orlando est-elle vraiment une zone chaude de la HMI ?
La ville d’Orlando, au niveau de la HMI, est devenue une zone de non-droit pour les groupes musicaux haïtiens. Cela va changer dans le plus bref délai. C’est vraiment regrettable que les choses se soient passées ainsi pour le groupe Klass et ceux qui ont participé à cette soirée dansante. Je conseille aux membres des gangs d’Orlando qui empêchent aux paisibles citoyens de la communauté haïtienne de cette ville de se divertir, de diluer leur vin (mete dlo nan divin yo). Car la police se lance à leur trousse.
Le service de police communautaire sera renforcé tant à Orlando, New York, Boston, que dans d’autres villes. Des mesures légales seront prises pour empêcher que de telles échauffourées ne se reproduisent dans la communauté haïtienne d’ici et d’ailleurs. Souvent, les membres de gangs haïtiens portent toujours un signe permettant de les identifier facilement. Ils utilisent les couleurs bleu, rouge ou noir avec insignes (casquettes, maillots, pantalons, manteaux, mouchoirs, bandeaux, etc.) pour indiquer leur appartenance. Ils utilisent des signes et attouchements pour se faire reconnaitre les uns les autres. Je remarque que les musiciens, quand ils se font photographier, utilisent des gestes et des signes de doigts de certains gangs, sans le savoir
Si les promoteurs qui avaient organisé la soirée avec Klass connaissent au moins celui qui a commencé la bagarre, ils doivent le signaler à la Police, sous le couvert de l’anonymat. Et les vidéographes qui étaient présents et qui ont enregistré ce spectacle affreux sont obligés d’assister la Police dans ses enquêtes visant à la capture de ces malfrats. Je déplore cet incident malheureux. Je profite de l’occasion pour demander à celui qui, par mégarde (erreur d’inattention), a déplacé le laptop du groupe Klass de le retourner aux promoteurs de la soirée du samedi ou bien au club où a eu lieu le bal. Il peut aussi contacter le groupe Klass. Le geste serait grandement apprécié de tous. L’important ce n’est pas vraiment le laptop mais les programmes de logiciels et les documents qui y sont installés.
À bon entendeur salut!
robertnoel22@yahoo.com
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